samedi 12 mai 2012,
Version d’une communication faite lors de la journée « Arnauld, Thomas d’Aquin et les thomistes », organisée par Denis Moreau, et à paraître dans les actes (Revue XVIIe Siècle).
Arnauld a toujours défendu une forme de compatibilité du libre arbitre et de la nécessité liée à la providence (prédestination, grâce, péché), dans le sillage de saint Augustin. Mais sa lecture de Thomas d’Aquin, en qui il voit une forme plus affirmée de liberté chrétienne, même si elle reste « compatibiliste », lui a fait modifier certaines expressions et sans doute certaines idées.
Professeur. Métaphysique, philosophie de la religion, philosophie médiévale.
Courrier électronique : Cyrille Michon
Remarques sur la pertinence de la philosophie analytique de la religion
Une relecture du livre V de la Consolation de Philosophie
La preuve ontologique repose-t-elle sur une ambiguïté ?
Textes clés
Approches contemporaines